Quelques jours de plus pour comprendre les montagnes, avant de faire la reliaison avec les rues et les bâtiments.
Arles-sur-Tech est entourée de montagnes qui semblent trop rondes, trop bulbe, trop plein, pour leur hauteur majestueuse. Il existe des bords tranchants, les rochers, mais en cette période de juin, ils sont principalement des grandes courbes, presque exorbités.
Elles rendent la ville petite. La rondeur est partout, le vert des arbres est partout.
Je veux connaître les montagnes, comme des amis, et je me demande si ces montagnes ont été toujours les amis des habitants, ou si, dans leurs formes super-ronde, si elles ont toujours fonctionné de faire un rappel que la terre est plus grande que nous. Sont-elles là pour nous rappeler que nous sommes petits?
Informations techniques: expérimentations ont continué avec le logiciel Painter - qui permet de glisser ma plume sur le papier plus facilement que sur le papier. Néanmoins, j'ai utilisé quelques "vrais" crayons et papier, toujours en combinassions avec les photos.
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